Qui suis-je ?

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Bruno BOUQUET

Amoureux de la vie, joyeux, curieux et de nature passionnée, les relations humaines ont toujours été au cœur de mes valeurs, que ce soit à travers le sport, la musique, les relations amicales ou familiales. C’est tout naturellement je me suis tourné vers le métier de thérapeute afin de m’occuper du bien-être d’autrui.

L’intérêt que je portais à la biologie et au sport m’ont orienté à étudier la kinésithérapie, métier que j’ai exercé durant 15 années riches d’expériences et de rencontres. De par ma curiosité à accompagner au mieux les patients et aux retours de certains consultant aussi des ostéopathes, l’envie d’étudier cette approche est devenue une évidence.

« Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous ».

Cette phrase de Paul Éluard résume très bien mon parcours : une succession de rencontres et de découvertes.

Première rencontre

Lors d’une formation en kinésithérapie, en discutant avec un des formateurs qui pratiquait également l’ostéopathie, une phrase m’a marqué même si à l’époque je n’avais pas pris la pleine mesure de celle-ci : 

« Réfléchis bien à ta décision de te diriger vers l’ostéopathie, car ce n’est pas un métier que tu vas découvrir, mais un véritable changement de vie… »

Mon choix d’école s’est porté vers une école d’ostéopathie à taille humaine, qui avait comme principal objectif d’accompagner chaque étudiant avec la plus grande attention (IPEO Pantin).

Seconde rencontre

Le Dr Patrice Stern (kinésithérapeute, étiopathe et médecin), directeur de notre formation, par son esprit d’ouverture, nous a offert la chance de découvrir tous les potentiels champs de l’ostéopathie. Il s’est entouré de professeurs ayant chacun des sensibilités différentes :

  • certains étaient tournés vers les techniques structurelles,
  • d’autres vers une approche tissulaire et viscérale,
  • d’autres encore vers ce fameux axe crânio-sacré,
  • quand une autre partie nous sensibilisait à l’existence d’un lien entre un symptôme physique et une origine psycho-émotionnelle.

L’esprit d’ouverture, la richesse de l’enseignement et ma sensibilité ont orienté ma pratique ostéopathique vers une approche tissulaire, crânio-sacrée, viscérale et émotionnelle.

À peine diplômé, sur les conseils d’une enseignante, je décidais d’approfondir l’approche du périnée auprès d’une sage-femme.

Troisième rencontre

Christine Michel Schweitzer, m’a appris à écouter chaque consultant, autrement, plus subtilement, notamment grâce à la magie (« l’âme qui agit ») du langage des oiseaux qui permet d’entendre les messages cachés. Elle m’a également initié à l’importance des mémoires transgénérationnelles et des traces qu’elles peuvent laisser dans notre histoire corporelle. En tant qu’accoucheuse, elle m’a véritablement fait naître à la relation thérapeutique, si importante lors d’un soin.

Ce stage a été l’occasion de riches échanges avec d’autres professionnels. Nous avons partagés notamment nos interrogations sur les difficultés lors des séances avec les nourrissons : Comment communiquer au mieux avec eux puisqu’ils ne parlent pas encore ?

Deux ostéopathes spécialisés en pédiatrie m’ont alors ouvert d’autres portes…

Quatrième rencontre

Dany Heintz-Blondy et Eric Simon par leur vision très différente de l’enseignement pédiatrique classique, ont eux aussi contribué à une nouvelle éclosion…

  • J’ai pu affiner ma lecture des manifestations non conscientisées du corps, faisant émerger un peu plus cette notion de mémoire cellulaire.
  • J’ai mesuré l’importance d’intégrer en consultation l’histoire de l’enfant, de sa conception jusqu’au jour de la consultation tant sur l’aspect physique, chimique, qu’émotionnel.
  • L’implication des mémoires transgénérationnelles dans les problématiques décrites par les parents ont considérablement fait évoluer mes séances avec les petits, et les plus grands aussi…
  • Enfin la découverte des liens et champs énergétiques est venue enrichir mon mode de communication et mes techniques de soin développant encore plus mon écoute grâce à la fragilité et à la sensibilité des bébés.

Cette formation pédiatrique, à travers les enseignements et exercices proposés a fait remonter à la surface des évènements personnels et a éveillé une réflexion sur le métier que je faisais, et surtout pourquoi je l’avais choisi.

Le soignant (« Soi-Niant » dans le langage des oiseaux) que j’étais, prenait encore plus conscience de la nécessité absolue de s’occuper de lui en priorité afin de mieux aider par la suite les patients.

Cinquième rencontre

J’ai alors suivi la formation d’Angela Hoffmann sur l’origine, le symbole et le sens « bio-logique » des maladies.

Tout a pris du sens : conception, grossesse, naissance, traumatismes physiques et émotionnels vécus, histoire parentale, transgénérationnel, peuvent expliquer l’origine de certains symptômes, et donc offrir de nouvelles solutions aux patients.

Les neurosciences, la neurobiologie et la physique quantique viennent aujourd’hui éclairer beaucoup de phénomènes restés inexpliqués jusqu’alors.

J’approfondissais mon apprentissage à ses côtés tant je sentais que je me rapprochais de ce qui faisait foi en moi. Je suivais alors une nouvelle formation à ses côtés, « la thérapie par l’inversion émotionnelle des ressentis », approche conceptualisée par le Dr Jean Lerminiaux (neuropsychiatre belge) et centrée sur la communication :

  • Observation fine de la lecture inconsciente du corps, de notre langage verbal et infraverbal (celui qui ne réfléchit pas mais ne ment pas… et qui est aux ordres de notre cerveau archaïque),
  • Importance laissée par notre vécu émotionnel et familial façonnant nos comportements et parasitant notre vie de tous les jours
  • Mais un accompagnement original et nouveau offrant la possibilité de se libérer de ces schémas comportementaux.

Même si cette formation apporta un éclairage nouveau dans mon approche relationnelle et dans les soins avec les patients, malgré tout j’étais confronté certaines incompréhensions lors de certains soins.

Un ami ostéopathe me conseilla de rencontrer une thérapeute psychologue, médium et énergéticienne.

Sixième rencontre

Carnita Sabater m’a alors, par son enseignement et sa guidance, fait toucher de plus près à cette multi dimensionalité existante. Elle m’a aidé à mieux comprendre la psyché des patients mais m’a aussi accompagné dans le développement de mes capacités intuitives, médiumniques en m’aidant à affiner mes ressentis énergétiques.

Au-delà de cet apprentissage, je me suis éveillé pleinement à cette dimension spirituelle et à l’ouverture du cœur indispensable dans l’accompagnement de chaque personne.

Tout ce chemin amenait beaucoup d’interrogations sur ma pratique notamment en ostéopathie qui était devenue bien différente de ce que j’avais appris.

Septième rencontre

C’est à ce moment que j’ai rencontré Séverine Manent-Milan, une ostéopathe qui proposait des stages intitulés : Ostéopathie et réalité quantique et vibratoire.

Tout était réuni et prenait sens : Ostéopathie, émotionnel, biodynamie, énergétique, notion quantique, multi dimension, connexion avec la nature, l’univers et surtout au Cœur…

Le tout au service du patient, en respectant son unicité.

Riche de ce cheminement personnel, de ces formations, des rencontres effectuées, et de tous les moments apparemment dissociés les uns des autres, des évidences ont émergé. Les hasards se sont transmutés en synchronicités, rassemblant ainsi toutes les pièces du puzzle.

Cette évolution dans mon parcours d’homme et d’accompagnant apporte au soin aujourd’hui une nouvelle dimension. Et c’est à travers ces différentes approches que je vous guide et vous invite à vous reconnecter avec chaque parcelle de votre corps, de votre cœur et de votre être qui a été momentanément blessée.

Une fois écoutée, nettoyée, aimée, cette part de vous blessée, va alors avoir la possibilité de retrouver pleinement sa vitalité et la joie quelle avait perdue pour vous permettre de retrouver votre harmonie, votre équilibre et votre bien-être.

« L’amour, c’est offrir quelque chose à l’âme et au cœur de l’autre, un élan, une vie, une inspiration, afin que cet être-là s’épanouisse et avance dans la lumière et dans la joie. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Génèse d'Éclairescence

À une période en fin de consultation, j’entendais souvent la même phrase : « Mais ce n’est pas de l’ostéopathie traditionnelle que vous faites ! ». D’ailleurs qu’est-ce que l’ostéopathie traditionnelle ? Existe-t-elle vraiment ? Je ne le pense pas.

En fait l’ostéopathie, décrite par A.T Still comme une philosophie, un art, est juste un outil mis dans les mains et le cœur d’un être humain qui a donc une histoire, un passé, une sensibilité. Ainsi chaque ostéopathe développe une ostéopathie qui lui est propre.

Ayant du mal à qualifier les soins que je proposais, je me suis tourné vers une amie thérapeute en lui demandant de m’aider dans un travail d’introspection. Claire Caloustian m’a accompagné en me guidant lors un voyage chamanique afin que ressortent les notions qui me tenaient à cœur. Plusieurs mots-clés ont émané :

        • Éclairer
        • Soigner
        • Énergétique
        • Origine
        • Généalogie
        • Transmission
        • Coeur
soins eclairescence

À la fin de cet accompagnement elle m’a proposé de trouver un mot résumant toutes ces notions. C’est alors que jaillit le mot « Éclairescence », comme une évidence à mes yeux et dans mon cœur. Tout était décliné à travers ce mot :

Éclairer-sens, Éclair-essence, Éclairer et donner du sens, remonter jusqu’à l’essence d’un problème, en accompagnant le consultant afin qu’il choisisse ses propres moyens pour poursuivre son chemin allégé, soulagé, et éclairé de tout ce qui entravait son parcours jusqu’alors.

Il y avait aussi la notion de transmettre toutes les connaissances acquises lors des formations, mais aussi grâce à la richesse des histoires de chaque consultation qui apportent à chaque fois un éclairage nouveau de tels ou tels problématiques de vie, symptômes, maladies, douleurs…

Car chaque personne, chaque rencontre, chaque soin est unique.

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